Ghost Woman (US) – rock’n rock

Ils ont la fureur de la punk sixties, le dandysme sale de la punk sixties, l’accoutrement de la punk sixties. À les entendre, on se croirait dans une petite salle aveugle de Manchester, un bock à la main et les yeux rougis par la fumée des cigarettes.
Ils, c’est Broken Bridge : trio punk garage écorché bouillant comme il faut, à la volonté de bousculer le rock romand. Sous les airs angéliques du boys band se cachent en réalité trois gentleman-rockers possédés par la transe et la frénésie. Don Saltamontes torture des guitares électriques, Redd Knee bastonne les fûts comme un beau diable et Nikolai pimente la sauce avec son groove de basse. Ils hurlent d’une voix crachée, de sympathiques hymnes à la gloire du rock’n’roll, passées par les filtres du lo-fi, rejouant l’âge d’or des mauvais garçons
- Aucun carton rouge sur ces neuf chansons qui dribblent ingénieusement et surtout mélodiquement entre grunge, pop et garagerock – LIBÉRATION
- Le duo réveille les démons en combi de surf de Wavves, avec un son garage qui n’a plus rien à envier à la sacro-sainte West Coast – ROLLING STONE
- (…) les deux bordelais déroulent leur « garunge » garni de refrains qui explosent systématiquement à la face (…). Et la rutilante production ne fait qu’aggraver les dégâts. C’est bien simple, ce power duo pourrait coller une trempe à bien des quatuors – NEW NOISE
Nos amis de Howlong Wold viennent nous présenter leur nouvel opus; NORWEGIANS CAN‘T REFUSE.
When you name your band after a sad country song, it could become a self-fulfilling prophecy. There’s nothing country about the dark, synthy rock n roll sound of Thanks, but they capture those classic country themes of heartache, sorrow and dancing with your devils…but with punch and a middle finger in the air.
Thanks was formed as a 6 piece of strangers, couples and old friends in 2011. The name came first and the sound followed.
That sound is dark, deliberate, and punchy. The songs, though crafted and tight, stay wild. There’s power, growl, emotional depth and also, somehow, this bright inescapable pop. They’ve found a strange and important balance between ripping you up and catching you with hooks. There is a soul in this music. It breathes and bleeds and moves. And live, they ‘re fun as hell.
Their first full length, Blood Sounds, was released in early 2014 to high praise and their sophomore release, No Mercy in the Mountain is due out early this fall.
Les blousons du rock and roll, sans ses clichés. Les slims de la pop, sans sa naïveté. Les boots du blues, sans son prosaïsme. Les jeunes Last Train libèrent un rock and roll hypnotique, dans un univers écorché et maîtrisé. Multipliant les tournées, leur réputation ne s’achète pas et les suit à chaque date, offrant ainsi une échappatoire pour des oreilles qui ont trop longtemps vulgarisé le rock.
Derrière ce nom se cache un artiste bien connu de la parenthèse puisqu’il est déjà venu sous le nom de Amiral James T. Un brillant musicien de Winterthur. Avec un premier album en poche, Howlong Wolf vient nous le présenter!
His Clancyness est le projet solo de Jonathan Clancy, canadien originaire d’Ottawa exilé depuis quelques années à Bologne où il joue dans le groupe A Classic Education. Sa musique parcourt les 50 dernières années musicales à travers la culture psyché et la western pop music. Son premier album Vicious est sorti à l’automne 2013 chez Fat Cat Records.
Un homme (Jonathan Konya), une femme (Carley Wolf), deux voix, une guitare, une batterie, un blues-rock bien gras qui sent bon les terre arides du Texas. Les deux américains d’Austin séduiront autant les éternels adeptes des défunts White Stripes que les nostalgiques du Delta Blues à la R.L. Burnside.