IRNINI MONS (FR) – indie / post punk / pop

Irnini Mons 2

Issu d’une scène musicale effervescente, le quatuor lyonnais Irnini Mons, né sur les cendres du groupe punk Decibelles, continue d’imposer sa patte avec brio, bien déterminé à contribuer au renouveau de la musique à guitares. Son nom, tiré d’un volcan sur Vénus, résonne avec sa musique : brûlante, foisonnante et audacieuse.

Le groupe se met à l’œuvre depuis 2021 pour fabriquer une formule post-punk surprenante et pleine de personnalité, où s’entremêlent sonorités indie, envolées noise et grunge, incursions prog, chant choral et mélodies pop imparables. En parité totale jusqu’au processus de création, les quatre musicien·nes enchaînent les morceaux de bravoure et chantent parfois en solo, parfois en polyphonie, toujours avec d’épatants textes en français.

Après un premier EP remarqué, des tournées intenses en France et en Europe, ainsi que des concerts plébiscités dans de prestigieux festivals (Trans Musicales de Rennes, MaMA Music & Convention, MENT Ljubljana), le groupe sortira son premier album “Une habitante touchée par une météorite” le 26 avril 2023 chez Another Record / Dur & Doux / HViV.

Fondry (BE) – musique improvisée pop/post-punk/jazz

Fondry 3 avec bol blanc cassé (002)

Groupe de musique improvisée pop/post-punk/jazz, Fondry est né de la rencontre de Diego Leyder (BRNS, Dièze, Namdose), Nicholas Yates (Thomas Champagne Trio, Samir Barris, One Horse Land…) et Romain Benard (Ropoporose, Primevère, Paradoxant, Milk TV, Namdose…) et de leur envie de proposer une musique inscrite dans l’instant. L’esthétique du projet se rapproche de celle de groupes comme Dirty Three, Gang of Four, Television ou encore Chicago Underground Quartet.
Empruntant des chemins et langages multiples, les sessions et performances du trio sont le résultat de l’alliage des pulsions musicales libertaires des instrumentistes. Complémentarité, énergie et spontanéité sont les maîtres-mots de ces moments qui se veulent par définition uniques, farouchement improvisés mais aussi résolument décomplexés et accueillants.

RVG (AUS) – Post punk

RVG

RVG’s highly-anticipated third album is named Brain Worms for the hyper-recognisable experience of, each day, baring witness to a world of private obsessions being aired out in the infinite. This may not be wholly new territory for the Melbourne post-punk band and its lyricist/frontwoman Romy Vager, but this time around, there’s a newfound radical acceptance glistening overtop everything.
All throughout Brain Worms, it’s apparent that this is a band in very fine form. Album opener ‘Common Ground’ sets the tone for what’s to come; a shiny, thrilling, punch of an album, with all the beloved RVG hallmarks. Vager’s voice is unfiltered and commanding as ever when delivering her clever, not-quite-ironic lyrics. Here, though, those lyrics feel so much less resigned to yearning, and so much more defiant and joyous.

After a momentous first five years — finding critical acclaim for debut A Quality of Mercy, landing on countless end-of-year Best Of lists, and playing alongside some of the world’s biggest acts in Pixies, Kurt Vile, Pete Doherty, Sleaford Mods, Camp Cope, Shame, and more — RVG released second album Feral as the world was locking down. Feral was called “masterfully executed” by The Big Issue, “the record of a lifetime” by Rolling Stone Australia, and given four-and-a-half stars by the Sydney Morning Herald.
But between the four bandmates — lead singer and guitarist Vager, guitarist Reuben Bloxham, drummer Marc Nolte and bassist Isabele Wallace — this is the most confident they’ve ever felt in RVG. They’ve moved past their influences, pushed themselves, and tried new things. And they have made a record they can, by all accounts, call their best.

https://www.rvgband.com/

https://www.instagram.com/rvg____/

Ada Oda (BE) – up-tempo rock

ada
Fraîchement atterri sur la scène bruxelloise, Ada Oda balance un rock binaire up-tempo qui évoque tant l’aplomb post-punk que les envolées mélodiques dont la variété italienne a le secret, étrange mélange…
Le projet a été initié en 2020 par Cesar Laloux (The Tellers, BRNS, Italian Boyfriend). A l’origine, l’idée était d’y ajouter une voix qui chanterait en Néerlandais,. Le premier confinement en décidera autrement car César rencontre Victoria Barracato sur internet, c’est bien elle qui assurera le chant, mais en Italien.
Sur base de maquettes au dépouillement assumé (boîte à rythmes, guitare et mélodie), César décrit sa vision de l’amour et des gens qui l’entourent. Ses textes sont d’abord traduits en italien et ensuite adaptés par Victoria, fille d’immigré sicilien.
Sur scène et en studio, le duo s’entoure de Marc Pirard à la basse (Italian Boyfriend), Alex De Bueger (Alaska Gold Rush, Gros Coeur) et Aurélien Gainetdinoff (San Malo, Yolande Bashing) à la guitare.
Après une première tournée des clubs belges où Ada Oda ouvre des groupes comme Wet Leg ou The Cool Green House et grâce à «Niente Da Offrire», un premier single-video largement relayé, le groupe se tisse une jolie toile internationale et s’apprête à conquérir le reste de l’Europe. Leur première tournée passera à l’automne par le Benelux, la Suisse, la France et bien sûr l’Italie où le groupe s’embarquera sur la tournée du label très garage «Slovenly Recordings».
Le premier LP d’Ada Oda ,« Un Amore Debole », sortira le 25 novembre chez 62 TV (Pias).

Albertine Sarges (DE) – post punk / pop

Albertine
The universality of pop music can mean different things to different people. For Albertine Sarges – Berlin-born musician and producer – it’s a vessel that she uses for self-exploration and growth, never more so than on her album The Sticky Fingers (out in 2021 via Moshi Moshi Records). Approaching her take on feminist theory, musings on bisexuality, and mental health, AS musical endeavors move from Viv Albertine-inspired post-punk and kaleidoscopic dream-pop to quiet-loud guitar squall and Tune-Yards reminiscent vocal acrobatics. While AS maintains a sense of comedy in her approach, her music is also a platform to explore the self and contribute to the broader societal discourse
credit pix Steffi Rettinger

US LIGHTS – KING WHO (new name, US) – post-punk dream-pop

KingWho

“Us Lights, is a newish dark-pop band from members of the Brothers Young and Hurtbird (among lots of other Portland bands). “Sometimes Smile” is an eerie but propulsive number that conjures an intricate spiral pattern like a spider’s web. There’s tons of atmosphere here, with muscly bass and cannon-like drums providing a sturdy foundation to the more ethereal, water-drop elements.” — NED LANNAMANN, Portland Mercury

 

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69 (FR)

69

On les a connu au sein de Sloy, un groupe de noise cultissime des 90’s. Un premier album produit par Steve Albini, des premières parties de Shellac et PJ Harvey, une invitation de Mr John Peel à une session à la BBC. La court des grands quoi. Depuis 2010, Virginie Peitavi et Armand Gonzalez forment le duo 69 et ils ont troqué les guitares contre des synthés analogiques et des boîtes à rythmes. Le résultat est froid, sombre et terriblement excitant, comme en témoigne leur dernier album, “Adulte“.

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